Les forces ukrainiennes ont découvert vendredi un charnier dans la ville d'Izioum, tout juste reprise aux Russes. La quasi-intégralité des cadavres étaient porteurs des marques de mort violente d'après les autorités locales dans un message diffusé sur la plateforme Telegram. "99%" des corps exhumés vendredi à Izioum, ville de l'est de l'Ukraine récemment reprise aux Russes, "présentaient des signes de mort violente", a déclaré dans la soirée le gouverneur régional Oleg Synegoubov et d'ajouter : "Il y a plusieurs corps avec les mains liées derrière le dos et une personne est enterrée avec une corde autour du cou. De toute évidence, ces personnes ont été torturées et exécutées. Les corps seront envoyés pour autopsie afin de déterminer la cause exacte des décès", a-t-il indiqué. "Chaque mort fera l'objet d'une enquête et deviendra une preuve des crimes de guerre de la Russie devant les tribunaux internationaux". "L'ampleur des crimes commis par les Russes à Izioum est énorme", a-t-il appuyé, dénonçant "une terreur sanglante et brutale". Le président Volodymyr Zelensky a dénoncé une Russie de "tortionnaires".
Par ailleurs, le chef de la police ukrainienne, Igor Klymenko, a de son côté annoncé la découverte de dix "salles de torture" dans des localités reprises aux Russes dans la région de Kharkiv, dont six à Izioum et deux dans la ville de Balakliïa. Les forces russes ont été accusées de nombreuses exactions dans les zones qui étaient sous leur contrôle, notamment à Boutcha, en banlieue de Kiev, où des corps de civils froidement exécutés avaient été découverts après leur retrait fin mars. Moscou nie que ses soldats aient commis ces atrocités.
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