L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) s'est prononcée en faveur de la mise en place d'une "zone de sécurité" pour empêcher un accident nucléaire à la centrale ukrainienne de Zaporijjia, occupée depuis six mois par les Russes et où elle juge la situation "intenable" en raison des bombardements. "Il est urgent de prendre des mesures", a estimé l'agence onusienne dans un rapport rendu public mardi, préconisant "l'établissement d'une zone de sécurité nucléaire et de protection" de ce complexe du sud de l'Ukraine. "Les bombardements sur le site et dans les environs doivent cesser tout de suite pour éviter de provoquer de nouveaux dommages aux installations", a-t-elle insisté, soulignant "les conditions extrêmement stressantes" dans lesquelles travaille en outre le personnel ukrainien, sous le contrôle des militaires russes. "La situation actuelle est intenable", a résumé l'AIEA, le site de la centrale ayant été touché ces dernières semaines par de multiples frappes dont Kiev et Moscou s'accusent mutuellement.
A son tour, le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a proposé mardi 6 septembre des mesures pour que la Russie et l'Ukraine cessent toute activité militaire près de la centrale électrique de Zaporijjia. "La centrale de Zaporijjia et ses environs ne doivent pas être une cible ou une plate-forme pour des opérations militaires", a ajouté António Guterres. Guterres a également exhorté les pays à se mettre d'accord sur un périmètre démilitarisé. Plus précisément, que les forces russes se retirent de la zone et que les forces ukrainiennes ne s'y installent pas. La centrale nucléaire de Zaporijjia est la plus grande centrale nucléaire d'Europe. Les deux parties à la guerre se sont accusées mutuellement de risquer une catastrophe nucléaire en effectuant des tirs d'obus près de la centrale située dans le sud de l'Ukraine, capturée par la Russie mais toujours exploitée par des ingénieurs ukrainiens.
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