C’est une artiste qui charme par son sourire, son énergie et sa beauté. Sa réputation n’est plus à faire et elle est considérée comme une des icônes de la musique pop en Bulgarie. Elle a plusieurs albums à son actif, mais aussi des projets réalisés en commun avec les „SimplyRed“, les “Scorpions”, Glenn Hughes de „Deep Purple“, les “ GipsyKings”, et Zucchero, entre autres. Elle a chanté à l’Olympia à paris et à la „MEOArena” de Lisbonne.

Nous la trouvons à Miami, au lendemain de son concert, dont une partie des recettes sera reversée à la nouvelle école bulgare qui est fréquentée de 40 petits Bulgares et qui essaye de préserver les traditions et les us et coutumes de notre pays.

„C’est un plaisir de vous parler de ces concerts qui pour moi sont une source de grande émotion. Je suis vraiment très heureuse et je suis sincère de rencontrer des compatriotes qui ont fait leur vie aux Etats-Unis, sans pour autant couper le lien avec leur patrie. J’ai ressenti cet attachement au pays, mais aussi la douce nostalgie de l’expatrié. J’ai chanté devant des salles combles et pas seulement face à un public bulgare. »

Les concerts de Maria Iliéva aux USA et au Canada proposent, entre autres tubes, les versions acoustiques de certaines chansons intemporelles de la Bulgarie. Bien sûr, elle interprétera pour la première fois son nouveau single « Que tombe la pluie » qui a créé le buzz sur les réseaux sociaux.

„Que tombe la pluie est une chanson que j’aime beaucoup, nous confie l’artiste. – Je suis accompagnée par un orchestre symphonique, mais aussi par les solos à la guitare de Guéorgui Yanev. Elle fait penser au prix de la gloire et au peu de temps libre dont un artiste dispose pour se consacrer à sa famille et aux personnes qu’il aime. C’est bien d’être connu, mais la célébrité a aussi ses inconvénients. Il faut essayer de vivre en équilibre, et je suis plutôt satisfaite de ma vie professionnelle ».

Présenté par Blagorodna Guéorguiéva