Les réactions des pouvoirs publics prêtent toutefois à confusion. Il y a d’une part les représentants du culte musulman qui affirment que l’islamisme en Bulgarie n’est pas radical mais traditionnel. Ce à quoi certains experts rétorquent qu’il s’agit d’un islam politique et non pas radical, ajoutant que les coups de filet organisés en Bulgarie relèvent de la routine dans le reste du monde et que le pays a besoin de modifier sa législation pour éviter les moindres dangers. Même le Parquet évite de qualifier d’islam radical les actes commis par les détenus, préférant le terme d’idéologie antidémocratique. D’où les interventions quelque peu timides des forces de l’ordre même si des menaces d’égorgement des impies ont été proférées…
Nous voudrions croire que la Bulgarie ne tardera pas à se doter d’une loi incriminant toutes les formes de l’islam radical, car le danger d’une pareille apologie devient de plus en plus manifeste…
"Une réunion surprenante. Moi, personnellement, je pense que tous les leaders de l'UE et de la Grande-Bretagne devaient y être conviés". Tel a été le commentaire de la vice-présidente Ilyana Yotova au sujet de la réunion sur l'Ukraine, convoquée ce 17..
La ministre des Finances, Téménoujka Pétkova est arrivée à Bruxelles pour défendre l'ambition de la Bulgarie à rejoindre la zone euro. Elle assistera ce 17 février à la réunion de l'Eurogroupe, contrairement à l'information sur son absence de la rencontre...
"Il y a enfin une volonté politique au plus haut niveau de maîtriser le conflit entre l’Ukraine et la Russie avec les moyens de la diplomatie et l’on doit appuyer ce processus". C’est ce qu’a déclaré à des journalistes le président bulgare Roumen..