En ce 7 avril, Journée mondiale de la Santé, nous avons une pensée particulière pour tous ces gens qui avec leur travail sont voués à nous aider lorsque nous avons des problèmes de santé.
La journée est créée à l’initiative de l'Organisation mondiale de la Santé et a une histoire de plus de 50 ans. Cette année, avec le slogan « Petits mais dangereux », elle est consacrée à la menace de plus en plus grande que représentent les maladies à transmission vectorielle. Plus de la moitié de la population mondiale est exposée à des maladies comme le paludisme, la maladie de Lyme, la fièvre jaune et autres, qui sont véhiculées par des moustiques, des mouches, des tiques, etc. Chaque année, plus d’un milliard de personnes sont infectées et plus d’un million meurent de maladies à transmission vectorielle. L'OMS souligne que toutes ces maladies peuvent être entièrement évitées et donne les mesures à prendre pour se protéger contre les infections.
Mais revenons en Bulgarie et à notre système de santé. Le mot qui décrit le mieux l'état de santé du système de santé bulgare ces dernières années est le mot combat. D’un côté, nos médecins doivent mener un combat pour la santé de leurs patients et faire face aux difficultés professionnelles que leur offre la réforme encore inachevée de notre système de santé. D’autre côté, les patients mènent leur combat avec les files d'attente devant les cabinets de leurs généralistes et autres spécialistes noyés par la paperasse. Dans le même temps, la Bulgarie continue à être dans le top des classements en termes de morbidité et mortalité cardio-vasculaires, elle marque une hausse alarmante des maladies oncologiques, le diabète touche de plus en plus de jeunes, l’obésité devient un fléau, etc. Seul le changement du mode de vie et de l'alimentation, ainsi que la prévention sont capables de nous faire sortir de toutes ces listes noires. Bien sûr, le développement de la médecine et la jeune génération de médecins bulgares nous apportent quand même de l’espoir.
Est-ce que les Bulgares, en tant que patients sont actuellement tranquilles? – Catégoriquement « oui » est la réponse de Radoslav Nakov, étudiant à l'Université de Médecine de Sofia, malgré le nombre de problèmes qui existent dans le système. Et il ajoute qu’il ressent une certaine tension dans la chaîne médecin-patient qu’il explique avec le trop de bureaucratie. On doit laisser le médecin traiter et aider ses patients. Radoslav espère que quand il commencera à pratiquer sa profession les problèmes seront réglés. Il espère également une rémunération meilleure, correspondant à ses connaissances et à son travail.
Version française: Sia Karaguiozova
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