La France, par la voix de sa première ministre, a réaffirmé son soutien à l'Ukraine. « Notre objectif est le même depuis le début : rendre le coût de la guerre insupportable pour la Russie, frapper durement son économie, pour l'empêcher de financer son offensive », a ainsi déclaré Élisabeth Borne en ouvrant un débat sur la guerre en Ukraine à l'Assemblée nationale. « C'est la Russie qui a lancé cette guerre. C'est elle qui nous pousse à agir », a-t-elle rappelé. « Les sanctions continueront tant que Poutine s'évertuera dans la spirale du conflit et de la confrontation. Abandonner les sanctions, ce serait abandonner l'Ukraine. Ce serait renoncer à nos valeurs. Ce serait nous soumettre à la Russie. La France, le patriotisme, ce n'est pas l'abandon. Ce n'est pas le renoncement. Ce n'est pas la soumission », a ajouté Élisabeth Borne, en s'adressant indirectement aux députés d'extrême droite du Rassemblement national, accusé de proximité avec Moscou et opposé aux sanctions économiques contre la Russie. « Et ces sanctions, n'en déplaise à ceux qui masquent leur fascination pour l'impérialisme russe par un prétendu patriotisme : elles fonctionnent », a encore assuré la Première ministre.
En attendant la contre-offensive victorieuse a permis à l’armée ukrainienne de reprendre de larges pans de territoires dans la région, forçant les Russes au repli. La situation sur le terrain s’est inversée au profit de l’Ukraine depuis le mois de juillet marqué par des victoires successives de Kiev. Les difficultés des Russes se traduisent d’ailleurs par la mobilisation « partielle » annoncée par le chef du Kremlin. Si elle devait concerner 300 000 réservistes ayant une expérience militaire ou des compétences utiles, dans les faits, de multiples cas de mobilisation de personnes âgées, d’étudiants, de malades ou d’appelés sans expérience militaire ont été signalés.
Les dirigeants de l’Union européenne et leurs homologues du continent vont se réunir jeudi et vendredi à Prague pour discuter des réponses aux conséquences dramatiques de la guerre russe en Ukraine, selon le président du Conseil européen Charles Michel. « Dans quelques jours, nous nous réunirons à Prague pour deux événements importants : la première réunion de la Communauté politique européenne le 6 octobre, et une réunion informelle du Conseil européen le lendemain », a-t-il annoncé dans la lettre d’invitation aux dirigeants de l’UE. « Nous avons convenu de lancer la Communauté politique européenne dans le but de rassembler les pays du continent », a-t-il souligné. Les dirigeants de 17 pays européens (Royaume-Uni, Turquie, les 6 pays des Balkans occidentaux, la Suisse, la Norvège, l’Islande, le Liechtenstein, l’Ukraine, la Géorgie, la Moldavie, l’Arménie et l’Azerbaïdjan) ont été invités.
"Le gouvernement ne tolérera aucune forme de corruption". C'est ce qu'a déclaré à l'Assemblée nationale le premier ministre Rossen Jéliazkov à propos de l'enquête du Parquet européen sur l’extension de la réserve de stockage de gaz "Tchiren". A ses dires,..
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