L’écrivain bulgare Guéorgui Gospodinov a fait la promotion à Bourgas d’un de ses livres très peu connus « Les failles du canon », un ouvrage en deux parties qui décrypte certaines œuvres des classiques de la littérature bulgare, tels Christo Botev, Péyo Yavorov ou Nikola Vaptsarov. La deuxième partie du roman développe les thèmes de la tristesse, des souvenirs et de la mémoire. Et c’est ce qui l’incite à étudier minutieusement les billets de banque en circulation en Bulgarie et leur message.
„Chacun de nous a dans son portefeuille une vraie anthologie, qui malheureusement est très peu lue, pour ne pas dire ignorée“, a indiqué Gospodinov.
Ce 1er septembre, à Plovdiv, s'ouvre la 20e édition du Salon d'automne des Arts, lieu de rencontre de la musique, le théâtre, la littérature, les expositions de peinture... L'inauguration officielle est prévue ce soir au Théâtre antique de la Vieille ville,..
A quoi ressemblait la capitale bulgare dans les années 70 du siècle dernier ? Des éléments de réponse nous sont apportés par l'exposition photo "Sofia Station '70", puisées dans les archives de l'illustre photographe bulgare Panayot Burnev, que le..
Quelques années avant que le vent de la liberté souffle sur la Bulgarie après la chute du mur de Berlin, des musiciens, des peintres, des artistes et des comédiens investissent pour la toute première fois les scènes du festival "Apollonia" à Sozopol...