Alors que la Russie avait annoncé une réduction de ses activités militaires dans le pays voisin mardi, le Kremlin a finalement fait marche arrière, assurant que les pourparlers n'ont rien donné de "très prometteur". Selon les forces armées ukrainiennes, et malgré les affirmations russes d’une diminution des hostilités dans les régions de Kiev et de Tchernihiv, la Russie poursuivrait bel et bien son renforcement militaire dans la région de Kiev et bombarderait toujours celle de Tchernihiv. Le Royaume-Uni a indiqué ce jeudi 31 mars dans un communiqué officiel signé du ministre de la Défense que "malgré les déclarations russes annonçant une réduction intentionnelle de l’activité militaire autour de Tchernihiv, d’importants bombardements et frappes de missiles russes se sont poursuivis". Et d'ajouter que "de violents combats se poursuivent à Marioupol". De nombreuses forces militaires russes sont encore autour de Kiev.
La conversation téléphonique entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron n'a rien donné. "Il n'y a eu aucun progrès dans les discussions sur l'opération humanitaire à Marioupol", a reconfirmé Moscou alors que Paris demande une trêve pour évacuer la population et apporter de l'aide dans cette ville assiégée depuis plusieurs semaines. En début d'après-midi, un bâtiment de la Croix-Rouge a été bombardé par l'armée sur place.
Le président Volodymyr Zelensky a indiqué dans un message vidéo que les pourparlers avec la Russie se poursuivaient mais qu'il n'y avait rien de concret pour l'instant. "Nous ne croyons pas dans la rhétorique des belles paroles russes. Ce qui compte c'est ce qui se passe sur le champ de bataille qui, lui, est bien réel", a ajouté le président.
Selon le principal négociateur russe, Vladimir Médinski, Moscou persiste et signe : Kyiv doit reconnaître l'annexion russe de la Crimée et les républiques séparatistes du Donbass.
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