"Vladimir Poutine a décidé de reconnaître l'indépendance des Républiques populaires de Donetsk et Lougansk, territoires de l'Ukraine aux mains des pro-russes. Le chef d'Etat russe a ordonné à ses soldats d'assumer les fonctions de maintien de l'ordre dans les régions séparatistes". Cette annonce a fait réagir violemment la communauté internationale. Le président de l'Ukraine, Volodimir Zélénski a déclaré que c'est une violation de l'intégrité territoriale et la souveraineté de son pays, tout en soulignant que les frontières de l'Ukraine resteront telles quelles malgré les déclarations de Moscou. "Nous n'avons pas peur", a ajouté le président ukrainien.
L'UE a qualifié la reconnaissance de l'indépendance des régions séparatistes par Moscou de « violation flagrante du droit international » et compte sanctionner « ceux qui sont impliqués » dans cette décision, ont annoncé lundi les chefs de l'UE après l'intervention du président Vladimir Poutine. L’Union réagira par des sanctions à l’encontre des personnes impliquées dans cet acte illégal », ont déclaré dans un communiqué commun le président du Conseil européen Charles Michel et la présidente de la Commission Ursula von der Leyen. L’ Otan a aussi condamné la reconnaissance des deux territoires séparatistes prorusses et a appelé Vladimir Poutine à « choisir la voie de la diplomatie » et à « retirer les forces déployées aux frontières de l’Ukraine et en Ukraine ». Paris a dénoncé « une dérive idéologique et sécuritaire » de Vladimir Poutine.
Le premier ministre bulgare Kiril Pétkov a pour sa part tweeté: " Je dénonce la décision du président russe de reconnaître Donetsk et Lougansk comme entités indépendantes. Nous soutenons l'intégrité territoriale de l'Ukraine dans ses frontières reconnues par la communauté internationale. Le droit international doit être respecté."
De son côté, le président Roumen Radev a tweeté: " La reconnaissance desdites Républiques populaires de Donetsk et Lougansk par la Fédération russe condamne les efforts de désescalade en Ukraine et fait monter la pression dans toute la région". Postant un deuxième message, Radev a ajouté qu'un règlement durable de la crise ne saurait être trouvé en violant le droit international ni en recourant aux armes.
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