En insistant pour la démission des députés, car ils ne savent pas comment faire leur travail, la coalition de droite, la « Bulgarie démocratique », a déposé ses objections écrites au parlement. Devant la Radio nationale bulgare, Christo Ivanov, co-président de la formation, a annoncé qu'il y a une crise de l'Etat de droit en Bulgarie. Selon lui, le procureur général s’occupe de lynchages médiatiques sélectifs et la présomption d'innocence a été révoquée. "Nous avons été scandalisés par l’indifférence totale de la part du Parlement", a souligné Ivanov, ajoutant qu '"il n'y a pas un seul député qui n’ait peur d'interroger le procureur général au sujet de la crise de la justice ". Selon Ivanov, il existe une incertitude en raison de l'utilisation des chats et des SMS comme outil répressif pour ruiner le business de certaines personnes.