En ce dernier jour d’une année difficile, qui a remis en question toute notre existence et nous a fait douter de tout, nous essayons de dresser tant bien que mal le bilan de ces longs mois de confinement, restrictions, gestes barrières, distanciation physique et … télétravail. Et Dieu merci, nos traditions ancestrales sont là pour nous rappeler que tout n’est pas fini et que la vie est un éternel recommencement…
Joyeuse année !
Epis doré dans les champs,
Pomme rouge dans le jardin,
Maison pleine de joie !
Soyez en bonne santé et en vie,
Jusqu’à l’année prochaine,
Ainsi soit-il !
Tels sont les vœux formulés au début de chaque année qui traduisent les espoirs et attentes des Bulgares, jeunes et vieux. Des vœux et des coutumes, plutôt patriarcales, qui permettent de franchir le cap de la nouvelle année, sans trop de regrets et de rancœur pour celle qui s’en va…Et bien sûr, tous ces joyeux rituels se passent en famille autour de la table richement garnie des plats du réveillon du Jour de l’An.
Plongez-vous dans cette atmosphère, chargée de signification et de symboles en suivant ce lien :
Photo : archives
D’après les traditions ancestrales bulgares, les 15, 16 et 17 juillet sont considérées comme les journées les plus chaudes de l’année, une coutume qui a une origine païenne et qui est liée au culte du feu… C’est une coutume connue..
Le 29 juin, l’Église orthodoxe bulgare rend hommage aux Saints apôtres Pierre et Paul. Мême s'ils sont différents du point de vue de leur caractère et leur destin, tous deux sont parmi les fondateurs de la nouvelle civilisation basée sur la foi..
Le premier dimanche suivant Pâques nous rendons hommage à un des 12 disciples de Jésus, l’apôtre Thomas, connu comme Thomas- le-Sceptique, celui qui ne croit pas à la résurrection de Jésus et qui souhaite vérifier qu’après sa résurrection, il..